2.09 - Blinding Light

Un bon plan n'exclut pas d'avoir à serrer les dents.

- Un exemple du fait que les femmes n'ont pas l'exclusivié de la douceur et de la compréhensivité, tout comme les hommes n'ont pas l'apanage de l'impulsivité ni du pragmatisme. Entre mille autres raisons, j'aime Uriel pour sa si délicate version de la masculinité, et Andy pour sa si solide version de la féminité. J'aime célébrer ce qui nous distingue tout en en illustrant gentiment la versatilité, et je remercie ces deux personnages de me le permettre.

- Un peu de justice pour Patrick, tout en donnant l'opportunité à Kayle de faire son meilleur hommage au Docteur Lecter.

- Beaucoup de sessions de rattrapage très abruptes et de retrouvailles mouvementées pour ce pauvre Caesar. Mais c'est aussi l'occasion pour lui de mettre à profit les forces qu'il s'est découvertes lors de son séjour auprès de Setsuko et du Docteur Kennedy Conway.

- Une surprise aussi massive qu'excellente de la part de Caroline et Robert, les deux oubliés dans la Machine.

- Un petit trafic d'influence au sens littéral entre Alek et les Kampbell. Sur fond de crème glaçée, on se demande qui déteint le plus sur qui, et la réponse est sans doute quelque part au juste milieu.

- Greg qui montre enfin la pointe de ses crocs, même s'il n'a nullement l'intention d'en faire usage, uniquement pour qu'on le laisse tranquille, comme un vieux chien assagi par l'âge. Mais tout de même plutôt un chien à trois têtes qu'un bichon frisé.

- Fred qui tient bon même alors qu'elle se fait un peu bringuebaler à droite et à gauche, dans toute cette histoire.

- Une brève leçon d'Histoire par Chad.

- Un désaccord philosophique entre Andy et Ben.