I'LL NEVER ASK FOR ANYONE BUT YOU - 04.02.2015 21:40
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Hey hey hey !
Nope, pas morte, juste en plein déménagement/stage/remplissage de paperasses/accès de flemmardise. =D


Puisque ça fait près d'un an (bon, entre dix et onze mois, mais qui va m'autoriser à chipoter, huh ?) que je n'ai point donné de mes nouvelles, je vais me plier aux us et coutumes da la civilisation actuelle (si on peut parler de civilisation, me direz-vous) qui veulent que je vous transmette mes meilleurs voeux, etc etc.
D'un autre côté, j'ai aussi raté les voeux 2014, donc je ne sais pas pourquoi je me donne du mal maintenant, une fois la chaîne brisée, tout le monde sait que c'est foutu.
Pourtant je dois concéder que je m'impressionne moi-même. Je m'apprêtais à me justifier en disant que je ne l'avais pas toujours fait au cours de mes plus de 6 ans de présence sur le web, mais je ne peux même pas, parce qu'après vérification, j'étais à peu près au rendez-vous pour tous les voeux depuis ceux de 2009. Vous vous rendez compte ? Je me trahis toute seule. ><


Bref. Suite à ce grand moment de monologue que j'aurais tout à fait pu vous épargner mais non parce que je suis d'humeur sadique, je vais enfin entrer dans le vif du sujet.

Pour être tout à fait honnête, mon 2.12 est achevé (bêta-lu et tout) depuis un certain temps, mais pour les raisons sus-mentionnées, je ne l'ai pas publié.
Voilà, c'est dit, il faut croire que j'aime faire souffrir les quelques individus au monde qui attendent DILIC avec impatience. ^w^
Donc, sans plus de suspens : Res(e)t - Peace of Me
Et avant que vous ne bondissiez tels de bons petits grammar nazis en puissance, oui, cette faute dans le sous-titre est intentionnelle.

En gros, dans ces 64 pages de bonheur (discutable pour Josh, mais techniquement assuré pour vous du moment que vous ne lisez pas sous la contraire) vous trouverez :
-> un réveil comme un faon dans les phares
-> des répliques à l'opposé du nombrilisme
-> de la théorie des classes
-> une question de genre
-> de la nature morte
-> du Porte à Porte
-> des trucs velus
-> des références abracadabrantes
-> de la technologie digne d'une maison de poupées
-> du passé recomposé
-> beaucoup d'anonymat
-> le choc des cultures
-> l'Histoire qui se répète (ou pas, d'ailleurs)
-> des offres qu'on ne peut hélas que refuser
-> de l'amitié décolorée
-> des levers de rideaux
-> l'approche de la sérénité
-> de la thérapie de choc
-> de la patience aux urgences
-> le retour d'une flamme
-> des connaissances plus vieilles qu'on en avait conscience
-> des châteaux de cartes insoupçonnés
-> une fidélité en toutes circonstances
-> des statistiques quantiques probabilistes (mais pas paraboliques)
-> du bel esprit
-> de la lumière qui aurait dû être éteinte
-> un gentleman rancher
-> le septième gratte-ciel
-> du rouge et du jaune
-> sept ans de malheur
-> une famille décomposée
-> le dieu du parc
-> des Révélations
-> la cruelle réalité
-> après l'alcoolisme, le bucolisme
-> du pinage millésimé
-> du pin bénit
-> le fond du trou
-> l'égalité des sexes
-> la libération du craquage
-> de la perspective icônique
-> des esprits qui se rencontrent, ni grands ni petits
-> du camouflage tape-à-l'oeil
-> de la sensibilité mais sans sens
-> des idées claires obscures
Et j'en passe sans nul doute, parce que ça fait deux soirs que je passe sur cette foutue liste, et il faut bien que je l'arrête un jour.
Si vous trouvez TOUTE la dizaine de références plus ou moins geeks plus ou moins masquées qui se sont glissées ici et là dans cette petite liste (et par la même occasion dans l'épisode, du coup, pour certaines), vous êtes fort, très très fort. Et si vous avez compris tous les jeux de mots relativement moisis plus ou moins subtils, vous êtes allé chercher loin, loin, jusqu'au Lac Michigan.

Sinon, pour vous motiver dans votre lecture (sait-on jamais), vous pouvez aussi vous référer à la ribambelle d'affiches promos que je me suis appliquée à vous fournir pour cet épisode.
Deux par scène ou presque, franchement, vous êtes gâtés, c'était de dure lutte.

Voilà voilà, il me semble que c'est tout pour cette fois.
Meteora a fermé ses portes, donc je ne sais pas trop quoi vous conseiller pour retrouver des auteurs. Twitter peut-être, de ce que j'entends.
Et côté sites funs inutiles, je suis à court également, il faut croire. Carrément gros passage à vide pour Plûme sur le net, en fait.


#SaveConstantine
Plûme à la Pistache



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